Par ailleurs, il est tout à fait compréhensible qu’une catégorie appelée « personnalités », qui n’a pas eu le temps de souffler, après avoir œuvré et s’être assurée d’une préemption de quelques sièges dans les arcanes du Conseil Supérieur de la Magistrature, alors qu’elle ne fait pas partie du corps de la magistrature, éprouve de la déception au premier handicap posé par le filtre constitutionnel, que toute nouvelle loi doit suivre le cheminement… Il n’y a aucun motif objectif pour qu’une catégorie professionnelle particulière puisse se considérer comme étant plus apte qu’une autre pour exercer le rôle de de collaborateur des magistrats au sein du Conseil. Il y a encore moins de raison d’accorder ce rôle à la formation professionnelle qui fait plus de bruit ou qui tape du pied plus fort. Lire la suite →